Après l’a première édition tenue au musée Adaman Toungara d’Abobo, Pehouet Soro, artiste peintre, fondateur des ateliers pehouet à organisé le samedi 30 octobre à la galerie rotonde des arts ,la deuxième édition de ”Okohi Toujours”, traduisant que l’art et la communauté seront toujours ensemble.
Selon l’initiateur de cet atelier, « On attend amener l’art vers les communautés ou amener les communautés vers l’art. Parce que longtemps on s’inspire des communautés mais de plus en plus les communautés s’éloignent de leur histoire », a expliqué Pehouet Soro.
Pour lui, C’est une façon de renouer le contact avec la communauté et son histoire . Rapprocher le maximum de gens a leurs histoires. L’artiste créé et ceux qui consomment se sont les communautés.
Cet atelier composé de plusieurs personnes ; certains doctorant, en licence, en linguistique, d’autres sur le banc de l’apprentissage à l’école a mobilisé plusieurs visiteurs dont les parents, élèves , enfants et jeunes .
Parce que l’art est un ensemble de discipline, parce que dans l’œuvre il y’a le fond qui précède la forme. Ils font le fond et nous avec notre capacité plastique venons donner forme à l’œuvre.
Le matériau utilisé est la clinique sur toile.
La particularité on a la statue, nous sommes trois plasticien qui interviennent dans trois écritures différentes, pour donner vie sur un même support. Celà pour montrer que c’est possible de n’est pas être identique mais de communier dans un même espace un moment de bonheur, de partager avec les autres un moment de vie . Pour nous c’est de faire vivre la magie de l’art au travers de tous ceux qui sont là. On peut donner des idées à l’artiste pendant qu’il est entrain de créer parceque l’artiste n’est pas un tout sachant, c’est pour moi un guide, la voix des sans voix.
Le tableau d’aujourd’hui rentre dans ce qu’on appel la collection OKOHI, même quand on le cède on le récupère pour le présenter lors d’un vernissage. Pour dire que, lorsqu’une personnes achète l’œuvre, c’est une manière à lui d’accompagner l’effort de l’artiste pour la communauté de sorte que l’œuvre revienne à la communauté. Donc celui qui achète, l’œuvre lui est prêté.
Les perspectives , « on espère répéter au maximum ce genre d’événement dans les villes environnantes et la sous région. Bientôt nous serons dans les établissements d’Abidjan pour donner ce genre de journée la gratuitement. »
Rendez vous à la journée culturelle le 03 janvier au Lycée Moderne d’Abobo un établissement populeux pour présenter aux enfants l’art en réalité qui sont longtemps restés loin pour leur montrer que la vie est belle.
LeMentor
