Jusqu’en 2018, la Chine était le principal pays d’accueil des déchets plastiques européens. L’an dernier, Pékin a considérablement durci ses conditions d’importations. Exit l’accueil des plastiques (les exportations européennes ont été quasi divisées par deux). Le même phénomène s’observe pour les papiers-cartons et certains métaux non-ferreux (aluminium, cuivre), ces derniers bénéficiant néanmoins d’un délai plus important de la part des autorités chinoises.
Si le recyclage des déchets plastiques a augmenté de plus de 80% entre 2006 et 2016, l’Europe doit toujours exporter ses excédents.
COCOTAYE